BOL D'AIR JACQUIER

Témoignages

« Je viens de faire l’expérience de l’utilisation du bol d’air jacquier pendant 10 séances supervisées par Bruno avec une progression en temps et en débit afin de prévenir d’éventuels effets secondaires. J’en retire de grands bienfaits, un net regain de vitalité, un sommeil plus calme et réparateur, une légère amélioration de l’audition… De plus la pratique est agréable et facile à mettre en œuvre. Je remercie Bruno pour son accueil et les échanges fructueux sur cette pratique. » Michel 

lire l’excellent article de Daniel Kieffer dans son livre
«  la revitalisation naturelle » :

 

L’oxygène : aliment essentiel de la vie

On peut survivre beaucoup plus de 40 jours sans nourriture solide, 5 à 7 jours sans boire, mais quelques précieuses minutes seulement sans respirer (quatre à cinq minutes, voire 7 a 9 pour de très exceptionnels plongeurs sur entraînés comme Jacques Mayol ou Stéphane Caron).

Le corps est constitué à 62 % d’oxygène ! Aucune cellule humaine ne peut naître, croître et assurer ses fonctions correctement sans oxygène. Le métabolisme basal et les processus incessants d’oxydo réduction concernent l’oxygénation cellulaire vitale. 

Le docteur Salmanoff, fameux apôtre de la Capillothérapie et des bains hyperthermiques très utilisés en naturopathie, précisait clairement : « le sujet sain consomme quotidiennement 126 000 l d’air avec 26 000 l d’oxygène.

Ce volume d’air doit être disponible à chaque souffle, chaque inspiration idéal devant livrer quatre à 5 l d’air… »

En vérité, un adulte moyen ventile 14 à 16 fois par minute un volume respiratoire dit courant de 0,4 l. 

Il s’accorde parfois une inspiration forcé de 2litres  à 2,5 litres et une expiration forcée (plus rare chez le sédentaire !) de 1,1 l. Un dernier volume de 1,5 l, régulièrement brassé et dit de réserve ne peut jamais être expiré volontairement et garanti que les alvéoles ne se collent pas entre elles. 

Bilan moyen = 14 à 16 l d’oxygène par heure ou 1,250 l /mn.

Hypoxie (hyposphyxie) et anoxie sont en fait à l’origine de 1000 troubles métaboliques directs ou indirects, incluant fatigue et chute immunitaire, flambée infectieuse, surcharge toxique, toxinique ou dégénérescences organique diverses.

Toutes les fonctions vitales peuvent ainsi rapidement souffrir d’hypoxie : la pensée devient confuse et la mémoire défaillante, les réflexes ralentissent, les gestes sont moins précis, la circulation est altérée, la tension artérielle augmente, le cœur est menacé…

Rappelons que la vitalité et les processus d’auto guérison sont largement conditionnés par l’oxygénation, tout comme le bon fonctionnement des émonctoires (organes-filtres tels que foie, reins, peau ou poumons) ou l’assimilation des nutriments.

Mieux encore, la production même d’énergie cellulaire est indissociable d’une oxydo réduction correcte : chaque petite unité fonctionnelle de nos tissus (les cellules) possède ainsi son poumon intrinsèque (la mitochondrie) dont le pouvoir réducteur est infiniment précieux pour libérer de l’énergie sous forme de chaleur ou de mouvement par exemple. Le cerveau est lui-même le plus gros consommateur d’oxygène : jusqu’à 10 fois plus que le muscle au repos !

Le bilan de l’oxygénation est relativement complexe car il fait intervenir des facteurs croisés tels que pression atmosphérique, ventilation, perfusion, diffusion gazeuse… 

Il est clair pourtant que les quantités d’oxygène et respirés varient très peu en pratique (15 à 21 % de l’air), sauf dans le cas de quelques situations extrêmes (haute altitude, plongée…) ou de professions à risque (haut-fourneaux, mines, égout…). Toutefois la qualité de l’air variant considérablement altère l’assimilation de l’indispensable oxygène.

Soulignons l’impact délétère des innombrables pollutions atmosphériques :

  • Physiques (particules et poussières, amiante…)
  • Chimiques (oxyde de carbone, gaz carbonique, anhydride sulfureux, ammoniaque, chlore, oxyde d’azote, composés nitreux, ozone…)
  • Biologiques (acariens, pollens, spores, microbes…)
  • Électriques (ions positifs).

Le professeur Raymond Lautier précise ainsi que « l’homme entre hommes ni poste fixe si si ces jours ne trop longtemps dans une heure dans le to en gas carbonique dépasse 0,06 %. Aujourd’hui (1960 !) C’est le cas de nombreuses rues urbaines où les taux atteignent 0,10 %, voire 0,14 %. Par conséquent, le danger provient à l’heure actuelle beaucoup plus d’un léger excès de CO2 que d’un défaut d’oxygène même relativement important, et ceci par blocage de la fixation d’oxygène ».

S’ajoutent à ces facteurs :

  • la sédentarité croissante (sous oxygènante)
  • les nombreuses mauvaises odeurs bloquant l’amplitude respiratoire d’une façon réflexe
  • le stress inhibiteur de la liberté diaphragmatique
  • les compressions mécaniques faisant de même (internes : sécrétions broncho-pulmonaire surabondantes ou épaissies, surpoids,  constipation chronique, courbures vertébrales Pathologique, tumeur… ou externes : vêtements et sous-vêtements serré, ceinture, position assise, mauvaise ergonomie…) 

On peut donc résumer en affirmant qu’en raison du vieillissement des structures tissulaire, surcharges pondérales et toxiniques, des agressions bactériennes ou virales, du surmenage physique ou psychique, des traumatismes, du stress, de la pollution sous toutes ses formes… les tissus intoxiqués ont de plus en plus de mal à assimiler l’oxygène indispensable, la capacité oxyphorique du sang est altérée.

L’acidose toxique tissulaire, à l’origine de tous les processus englobés par le terme générique de « neuro arthritisme », est régulièrement aggravée ou entretenue par une mauvaise respiration (rétention d’ions H+ non suffisamment exhalés ).

Bienfaits de la méthode : l’opinion du professionnel de santé

Une action globale : la correction de terrain. Des médicaments apportant des oxydes de térébenthine existe sur le marché international depuis des générations ( Ozothine, Terpoxyl…). Avouons toutefois que la voie transpulmonaire utilisée ici (comme pour les aérosols aromatiques) est largement plus agréable et moins invasive que la voie intraveineuse et plus efficace et physiologique que la voie rectale… Le cycle de la bio catalyse se poursuit durant plusieurs heures après l’inhalation tant qu’il subsiste des dérivés oxygéné d’alpha pinene dans le sang. Dans sa thèse sur les dérivés oxygénés d’essence terpeniques insaturée, le Dr Cécile Chapard constate que ces dérivés subsistent jusqu’aux environs de la quatrième à la sixième heure après l’administration dans l’organisme. L’action habituellement constatée depuis un demi-siècle pourrait en fait simplement se résumer aux points suivants : 

Accroissement substantiel de la vitalité et des capacités de récupération. 

Développement des défenses immunitaires. 

Optimisation des fonctions nerveuses et hormonales. Optimisation des fonctions cardio pulmonaires. 

Amélioration des taux de lipides et de cholestérols

Prévention et accompagnement du vieillissement. 

Soins complémentaires des pathologies de civilisation (cancer, thrombose, Alzheimer, sida…).

Optimisation « non dopante » des performances sportives.

Le métabolisme général étant optimisé(conception humorale et holistique chère aux naturopathes depuis Hippocrate) aucune fonction ne peut échapper aux bienfaits de la méthode. L’aliment, par exemple, substance réduite (hydrogénée), se trouve courbure par l’oxygène et amené de la sorte à libérer son énergie qui va servir la cellule pour ses multiples fonctions. 

Par ce même processus s’effectue également la comburation des déchets endogènes et exogènes (toxines et toxiques) en quantité anormale dans l’organisme. 

Plus encore, c’est au plan du métabolisme intermédiaire( Pour simplifier = entre les fonctions digestives et les fonctions cellulaires, dans les milieux liquides sanguins et lymphatiques 

« intermédiaires ») que l’oxygénation bio catalytique apporte in vivo ses bénéfices vitaux.  Exemples: 

– Meilleure neoglycogénèse (transformation des graisses en sucre

– Meilleure deshydrogénation du cholestérol en vitamines D (d’où une calcification normalisée)

– Amélioration de l’oxydation (= oxydo réduction deshydrogénante) du cholestérol HDL et des lipides saturés, mieux éliminés ou utilisés 

– Transformation du carotène en vitamine A (le carotène est un hydrocarbure terpénique naturel devant être oxygéné–forme alcool–dans le foie)

– Biologie : normalisation très fréquente des analyses sanguines pour ce qui concerne cholestérol, sucre, albumine, vitesse de sédimentation, globules rouges et blancs…

– Clinique : normalisation de la tension artérielle, de l’électrocardiogramme, des radiographies… Spectaculaires résultats dans les cardiopathies (angine de poitrine, infarctus du myocarde), les maladies métaboliques (diabète, anémie cérébral ou intoxication à l’oxyde de carbone, allergie).

– Prévention et traitement complémentaire des cancéroses, leucémies ou sida.

Une action locale :

– Optimisation de l’auto guérison des sinusites chroniques.

– Idem pour les autres troubles O.R.L. (rhinite allergique ou non, amygdalite, cavumites, otites…) ou broncho-pulmonaires aigus ou chroniques (bronchites, emphysème, asthme, insuffisances respiratoires, pneumonies…)

Les oxyde terpéniques sont doués d’un haut pouvoir décongestionnant et balsamique sur les muqueuses respiratoires. Asséchant non sclérosant dans la bronchorrhée, il fluidifie les sécrétions, alors plus aisément expectorées ou mouchées . 

Pour notre part nous pouvons témoigner de l’utilisation personnelle de l’appareil à raison de trois minutes entre chaque consultation. Dès la première journée, les premiers bénéfices constatés furent une plus grande clarté d’esprit tout au long de la journée et une absence complète de fatigue.

 

Fonctionnement de l’appareil

Il s’agit de produire des peroxydes de pinène , à partir d’une huile essentielle de résine de pin ( HE de térébenthine de qualité supérieure).

1ère fonction : le barbotage. 

Il consiste à faire passer de l’air ambiant, à l’aide d’une turbine dans un flacon contenant de l’huile essentielle de résine de pin afin d’ obtenir une vapeur riche en alpha et bêta pinène. Le gaz ainsi formé passe ensuite dans un simple vase de décantation où sont retenues les gouttelettes de térébenthine excédentaires.

2eme fonction : la peroxydation. 

Le gaz obtenu précédemment est soumis à l’action de deux arcs électriques puis d’une résistance chauffante. L’arc électrique initie le processus de réaction chimique qui se poursuit autour de la résistance de façon à obtenir une peroxydation complète des pinène, lesquels ont une vie très courte. Ils doivent être inhalés immédiatement au moment de leur fabrication pour jouer convenablement leur rôle de bio catalyseurs. La finesse des particules gazeuses générées est telle qu’elle passe aisément la membrane alvéolaire pulmonaire (travaux confirmés par l’université de Delft) 

Inhalés à l’état naissant, ces particules vitales sont « porteuses d’information »(Travaux sur les énergies ultra fine). 

L’appareil est portable, d’esthétique agréable et d’une utilisation très simple.

D’autres appareils, également dénommés « bol d’air jacquier », fonctionnent depuis 1951 grâce à une flamme brûlant des vapeurs d’huile essentielle de résine de pin et utilisant une bouteille d’hydrogène de 1 m³, sous pression. Le flux gazeux est alors refroidi violemment et libère de peroxyde d’alpha et bêta pinède. De plus pour obtenir des produits non lacrymogène et non pyrogènes, les appareils doivent être extrêmement bien réglés. Nous reconnaissons clairement leur intérêt mais préférons la sécurité nouvelle des appareils fonctionnant sans bouteille.

Une totale innocuité

L’huile essentielle utilisée doit être chemotypee (définie précisément au plan botanique mais aussi au plan biochimique). 

Le « Chemotype» est la carte d’identité chimique d’une huile essentielle. 

Pour ne pas être source d’allergie ou d’irritation des voies respiratoires, il doit s’agir d’une térébenthine d’origine contrôlée, issue des oléo résines de pin maritime ou Pinaster, mis en culture biologique ou sauvage, et surtout sans composants terpéniques indésirables de type Delta 3 carène. La qualité habituellement conseillée (label écocert, mention nature et progrès) émane du laboratoire Florame.

Elle est riche en alpha bêta Pinène et autres sesquiterpènes, ( l’îlienne, phellandrène, caryophyllene, longifolene, myrcene, camphene, …)

Ce qu’il n’est pas

– ni un appareil d’ionisation de l’air

– ni un super diffuseur d’huiles essentielles ou un générateur d’aérosols

– ni un ballon d’oxygène ou un générateur d’oxygène

– encore moins un générateur d’ozone

– ni un appareil à catalyse chauffante

Utilisation pratique : les cures de « bol d’air jacquier »

10 à 12 minutes par jour, par cure de trois semaines par exemple renouvelables plusieurs fois par an.

Autre possibilité : plusieurs fois deux à trois minutes par jour. Aucune accoutumance ne peut être observée. 

Quelques réactions sont parfois possibles : réactivation d’élimination par exemple ou de symptômes anciens. Aucunement iatrogènes, ces phénomènes appartiennent aux petites « crises curatives » passagères bien connues des thérapeutes vitalistes. On note une optimisation des résultats en associant aux cures des compléments nutritionnels oligo métalliques (manganèse, cobalt, fer) qui sont des décomposeurs de peroxydes, du chlorure de magnésium, des vitamines A C E.